JBC mise sur l’écologie et réduit l’utilisation du plastique

La marque de mode belge s'est engagée pour Mai Sans Plastique avec de nombreuses initiatives dont la nouvelle collection I AM Ocean.

L’enseigne JBC annonce qu’elle va encore réduire sa consommation de plastique, de carton, d’eau, de CO2 et d’énergie grâce à une série d’initiatives durables dans le domaine des livraisons à domicile, des prospectus et des sacs réutilisables. C’est dans cet esprit que la marque de mode belge lance la toute nouvelle collection I AM Ocean, qui vise à sensibiliser les consommateurs à la « soupe plastique » dans les océans. Grâce à ces initiatives, JBC poursuit ses efforts de longue date en faveur d’un secteur de l’habillement plus durable.

JBC préconise depuis des années une industrie du vêtement plus durable, tant dans la conception des vêtements que dans ses propres activités quotidiennes de vente au détail. En mai, JBC déploiera d’autres solutions durables en faveur de notre environnement dont Mai Sans Plastique

«Il est essentiel de prêter attention à tous les aspects de l’industrie vestimentaire : de l’utilisation des matières à la transparence de la communication, en passant par la création, le processus de production et la distribution,» explique Valerie Geluykens, responsable RSE chez JBC.  

Moins de pollution, c’est plus d’économies

Dès la mi-mai, JBC renforcera ses initiatives durables dans ses magasins et sa boutique en ligne. Pour réduire l’utilisation de plastique, les clients pourront emporter leurs achats dans un sac réutilisable, composé à 30 % de déchets plastiques recyclés provenant de l’océan et à 70 % de bouteilles en PET recyclées. La production des sacs nécessite 68 % d’eau et 70 % d’énergie en moins. Elle émet également 75 % de CO2 en moins.

A partir d'aujourd'hui, les 75 000 livraisons à domicile effectuées chaque année par l’enseigne via sa boutique en ligne seront aussi exemptes d’emballages plastiques. Les commandes seront livrées dans une boîte en carton recyclé à 70 % et certifiée FSC afin que vous puissiez être sûr que la boîte a été produite avec des produits provenant de forêts gérées de manière responsable. Les 350 000 dépliants distribués 6 fois par an ne seront plus emballés dans un film. JBC tirera ainsi un trait sur plus de 2 millions d’emballages en plastique.

De plus, les portes de tous les magasins JBC en Belgique, au Luxembourg et en Allemagne ne seront plus ouvertes toute la journée, ce qui signifie que la chaîne peut économiser jusqu'à 40% d'énergie thermique.

Le travail durable chez JBC

La durabilité est profondément ancrée dans la culture d’entreprise de JBC. Le siège social de Houthalen-Helchteren est équipé d’un éclairage LED, de plafonds cradle-to-cradle et de systèmes de suivi de la consommation d’énergie. L’entrepôt voisin est quant à lui doté de panneaux solaires. Les collaborateurs peuvent, en outre, souscrire un contrat de leasing pour un vélo (électrique) en guise d’alternative écologique et saine à la voiture. De plus, depuis le mois avril le restaurant JBC a décidé de ne servir que des repas végétariens, pour une empreinte écologique moindre.

More ocean, less plastic

JBC lance également ce mois-ci sa nouvelle collection I AM, judicieusement baptisée I AM Ocean. Avec cette collection, la marque de mode souhaite encourager ses clients à réfléchir à l’impact négatif du plastique sur nos océans. Pour ce faire, elle a choisi des slogans tels que « No more plastic please » et « Less plastic, more ocean life ».

La collection I AM, délibérément fabriquée à partir de matières écologiques, est la marque écologique de JBC. Si sa production répond aux attentes des consommateurs, son impact environnemental est réduit au strict minimum. Pour cette collection, le choix s’est notamment porté sur du coton biologique, cultivé sans pesticides ni produits chimiques.

«Nous nous tournons de plus en plus vers les matières recyclées pour nos collections de vêtements. D’une part, la production nécessite moins d’énergie, car aucune nouvelle matière première ne doit être extraite. D’autre part, en réutilisant les vêtements, nous réduisons la quantité de déchets. Nous nous efforçons ainsi d’aller de l’avant et de repousser constamment nos limites», ajoute Valerie Geluykens, responsable RSE chez JBC.

La collection est en vente dans les magasins et sur la boutique en ligne. L’origine du vêtement est, par ailleurs, possible à retracer via le Transparency Tool. Le bouton « trace this item » permet aux clients de vérifier dans quel pays et dans quelle usine leur vêtement a été confectionné.

Katrien Vangrunderbeeck

PR & Communication Officer, JBC

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À propos de JBC

JBC est une chaîne de magasins de vêtements belge, fondée en 1975 par Jean-Baptiste Claes, JBC est une entreprise typiquement familiale, aujourd’hui dirigée conjointement par Bart et Ann Claes. Forte d’une solide position dans le segment moyen, JBC s’adresse à tous les membres de la famille. Il y en a, en outre, pour tous les budgets. L’entreprise s’est fixé comme objectif de transposer les dernières tendances en matière de mode dans des vêtements abordables et de qualité. Le tout dans le souci d’une durabilité à 360°. L’entreprise a une présence en ligne forte et a généré un revenu de 240 millions d’euros en 2016 (TVA incluse). Cette ambition se traduit par des collections aux accents locaux, respectueuses de l’humain et de l’environnement. JBC est fière d’être membre de la Fair Wear Foundation depuis le 1er avril 2015. L’entreprise est, en outre, le premier détaillant belge à avoir signé l’accord de sécurité au Bangladesh. Claes Retail Group (CRG), la maison mère qui détient JBC et Mayerline, emploie directement et indirectement plus de 1500 travailleurs et possède 210 magasins en Belgique, en Allemagne et au Luxembourg, dont 146 magasins JBC et 64 enseignes Mayerline. En 2016, le groupe CRG a généré 287 millions d’euros de chiffre d’affaires (TVA incluse), dont 47 millions via son enseigne Mayerline.